JEANNE DE FLANDRES LILLE

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alex010 354 messages
alex010
Mamanaute
Avancée
Posté le : 09-07-2010 à 12:00
Bonjour, je suis nouvelle sur lille, nous avons emmenagé depuis fevrier je suis enceinte dpa prevu pour le 14 decembre, je me suis inscrite a la maternité jeanne de flandres a lille ......... AVEZ VOUS DES AVIS A ME FAIRE PARTAGER ???? merci
lilou59622 4851 messages
lilou59622
Mamanaute
Experte
Posté le : 24-07-2010 à 09:37
Bonjour Je ne suis pas de lille mais pas loin de dunkerque , j'ai une amie qui a accouché à jeanne de flandre et tout c'ets très bien passée , elle est très réputée ds la région elle est classée ds l'une des meilleures de france :wink:
Dinette26 348 messages
Dinette26
Mamanaute
Avancée
Posté le : 25-07-2010 à 20:19
Une amie a accouché là-bas mi-juin, elle a été ravie: personnel, méthode d'accouchement... Je suis allée lui rendre visite et les chambres sont vraiment agréables et bien équipées.
marie1801 186 messages
marie1801
Mamanaute
Avancée
Posté le : 26-07-2010 à 13:25
bonjour, alors moi je devrai accouché dans pas longtemps !!! , sur lille aussi mais pas jeanne de flandres... par contre je sais que c'est un hôpital réputé avec un bon service de néonat' [url]http://www.topdesmaternites.com/fiche_top.php?id=590006607[/url]
Guest756598
1 messages
Guest756598
Mamanaute
Débutante
Posté le : 29-09-2011 à 19:23
Pour ma part, le séjour en maternité a été désastreux. Voici le courrier que j'ai envoyé à la clinique, avec laquelle je suis en procédure pour un cumul d'erreurs médicales. A vous de juger! Vendredi 15 juillet 2011 : rendez-vous de contrôle du neuvième mois de grossesse avec le Dr J, qui remplaçait alors le Dr M. Dr J m’annonce un retard de croissance du bébé. Il me dit qu’il faudrait penser à déclencher l’accouchement car le bébé ne se nourrit pas correctement dans mon ventre, qu’il y a très peu de liquide et qu’il grandirait mieux à l’extérieur… Il m’explique qu’il ne faut pas tarder à faire ce déclenchement et que je peux revenir samedi ou dimanche en ajoutant « c’est comme vous voulez ». Je me retrouve donc dans une situation d’urgence mais je peux tout de même choisir le jour de mon accouchement. Samedi 16 Juillet 2011: J’ai passé toute la nuit à angoisser. Je décide d’appeler la maternité avant de m’y rendre pour avoir un autre avis. La sage-femme me dit de venir pour 10h afin qu’elle puisse contrôler. Le médecin de garde était alors Mme A. La sage femme me met sous monitoring et me dit que le bébé va bien. Elle demande l’avis au médecin, qui sans m’avoir examiné ou vérifié mon col, ou le liquide etc… décide de me renvoyer chez moi. On me dit de revenir quand j’aurai des contractions régulières toutes les cinq minutes. La sage femme avait elle aussi l’air étonnée de la réaction de ce médecin et toujours angoissée, je rentre chez moi. Je suis donc passée d’une situation d’urgence à une situation normale en un instant. Dimanche 17 Juillet 2011: Je décide de rappeler la maternité parce que je n’étais pas du tout rassurée et j’explique à la sage femme ce que m’ont dit les deux médecins. Elle me dit alors qu’il y a beaucoup d’accouchements ce jour et que le mieux c’est de venir faire un contrôle en début de semaine. Lundi 18 Juillet 2011: Je rappelle à nouveau la maternité et une sage femme, qui a regardé mon dossier me dit de venir pour 14h et qu’ils allaient effectivement me faire d’autres examens car il y avait quelques petits soucis sur mon dossier. Elle me dit de venir avec ma valise et de me préparer à rester à la maternité car ils allaient certainement me déclencher le soir. J’arrive donc à 14h à la maternité, je passe une série d’examens de contrôle dont une échographie. L’échographe nous dit qu’il reste peu de liquide et que, d’après le doppler, il ne faudrait pas tarder à faire sortir ce bébé. Sur le compte rendu de l’échographie, il y a effectivement noté « liquide faible ». Mon mari et moi nous disons donc que certainement l’accouchement allait être déclenché dans la nuit. Nous retournons donc en salle d’accouchement et la sage femme nous dit qu’il y a d’autres mamans qu’il faut déclencher avant moi car c’est plus urgent et qu’il faudrait que je revienne le lendemain à 20h. Encore une fois, on passe de l’urgence à pas du tout, rentrez chez vous. Mon mari a du expliqué à son employeur qu’en fin de compte, il avait pris sa journée pour rien et que le lendemain il irait travailler puisqu’on me ferait rentrer que le soir. Nous nous sommes donc dit qu’il prendrait les jours de congé paternité à partir du mercredi. Difficile de s’organiser avec tout ça. Mardi 19 Juillet 2011 : Je passe la journée seule chez moi. A 20h mon mari m’emmène à la maternité. Nous faisons les billets d’entrée et nous attendons dans la chambre jusqu’à minuit avant de voir une sage-femme. Ces heures d’attente sont interminables surtout quand on nous dit que le bébé serait mieux à l’extérieur qu’à l’intérieur. Mercredi 20 Juillet 2011 : A une heure du matin, on me pose un tampon pour déclencher l’accouchement. On m’explique que pour une première grossesse, ça pourrait être long et difficile. Nous retournons dans la chambre et les contractions commencent à se faire sentir dans le dos. Vers 12h, elles sont très douloureuses et rapprochées toutes les 5 à 3 minutes. Je supporte en me disant que j’allais avoir mon enfant et j’étais prête à endurer jusqu’au bout. Vers 17h, la sage femme m’examine et me dit que malheureusement je ne suis ouverte qu’à 1 et demi (alors que je l’étais déjà le vendredi 17), et qu’elle allait retirer le tampon pour voir si j’ai des contractions spontanées. Les contractions sont toujours très douloureuses et rapprochées. A 20h, une autre sage femme arrive et me dit qu’elle allait me donner un calmant pour que je puisse dormir la nuit. Son discours n’était pas du tout réconfortant mais plutôt moralisateur. Je ne me suis jamais plaint pendant tout le long et là j’ai l’impression qu’elle me reproche de demander un calmant alors que je ne l’ai pas fait. Au contraire, je souhaitais continuer le travail. Elle m’explique qu’il y a des accouchements très difficiles et que elle, par exemple, elle a fait 12 heures de travail toute seule chez elle et que quand elle est arrivée à l’hôpital elle n’a même pas eu de péridurale. Je me disais au fond de moi que, elle, au bout de 12h elle a eu son bébé dans les bras et que moi, je devais recommencer le lendemain. Mon mari était également choqué par ses propos mais nous nous disions que de toute façon, on ne la reverrait pas le lendemain et qu’elle n’était pas faite pour être sage-femme. Jeudi 21 Juillet 2011 : la nuit a été difficile mais les contractions se sont calmées, je suis prête à recommencer, je pense surtout à mon bébé qui doit sortir pour être mieux. Vers 9h, une sage-femme me met le gel pour déclencher l’accouchement. Je passe la journée avec des contractions irrégulières. Je suis blasée car les contractions n’apparaissent pas sur le monitoring, je les sens pourtant dans le dos. Je ne suis toujours pas ouverte. Vendredi 22 Juillet : La nuit a été très difficile. Toutes les 5 minutes, je ressens des contractions très douloureuses mais j’attends le lendemain matin 7h pour appeler la salle d’accouchement. La sage femme m’examine, je ne suis ouverte qu’à 2 et demi. Elle me fait un décollement. La douleur a été atroce mais je suis enfin ouverte à 3 et demi. Vers 9h, il me semble, on me pose la péridurale. Les contractions diminuent même si je les sens toujours. Je me dis que j’allais enfin pouvoir accoucher, je suis trop contente d’être arrivée jusque là. La sage femme m’explique qu’elle va percer la poche des eaux pour accélérer l’accouchement. Mais plus de liquide. Mon mari observe le monitoring et demande à la sage femme si c’est normal que le rythme cardiaque du bébé chute. Elle explique que non et là le Dr J arrive. Il est tout paniqué et il pense tout haut « non mais là c’est plus possible, eeeh.. on peut plus attendre.. eeh, allé césarienne ». J’hurle « non » de toutes mes forces, j’explique que je vais tout faire pour accoucher, que j’ai encore de la force. Mais il me dit que c’est plus possible et en même temps je l’entends demander l’avis de la sage femme. Je ne suis pas du tout en confiance surtout que lors de la visite du 6ème mois, ce même médecin m’a prescrit des antistaminiques interdits pendant la grossesse (le pharmacien ne me les a pas donnés car de toute façon ce médicament n’est plus commercialisé depuis longtemps). Il me dit qu’il va arrêter la perfusion mais il ne parvient pas à éteindre la machine, il appuie sur tous les boutons, ce qui ne me rassure pas du tout pour la suite. Quelques minutes plus tard, je dis à la sage femme que mon bras me fait mal, elle regarde la perfusion et dit au dr : « mais dr J, il faut clamper, elle va faire une hypertonie ! ». Là, je panique. Je lis sur le visage de mon mari qu’il est très inquiet, les sages femmes tentent de me rassurer en me disant qu’il faut faire une césarienne. On m’emmène au bloc, je suis apeurée et j’aurai voulu avoir mon mari près de moi (surtout qu’il n’a pas eu le temps de m’embrasser). Je suis sur la table d’opération. La sage femme me rassure en me disant qu’elle allait s’occuper du bébé et qu’elle me l’apportera. Je lui dis que je ressens tout quand on me touche. L’anesthésiste se met à me hurler dessus « Mme, c’est important, vous sentez qu’on vous fait mal ou vous sentez qu’on vous touche ??? répondez, Mme !!! », et il répétait cette phrase sans me laisser le temps de répondre, je me sentais paralysée. Et là, je sens qu’on m’ouvre le ventre... Mes jambes se lèvent et j’hurle de toutes mes forces. J’entends quelqu’un dire « elle sent tout ! » et l’anesthésiste me met violemment un masque sur le visage. Je me sens partir avec un point dans le cœur (une douleur que je ressens toujours aujourd’hui). Celui-ci est ensuite allé voir mon mari pour lui dire qu’il m’avait fait une anesthésie générale parce que je me débattais, et que c’était super dangereux. Mon mari a été outrée lorsque je lui ai dit qu’en fait j’avais tout senti, car il a compris que le médecin avait essayé de se couvrir en me faisant porter le chapeau de la femme hystérique. BB est né à 11h55. Je me réveille en salle de réveil. Je pleure, je veux voir mon bébé… Je ne sais pas ce qui c’est passé.. Personne ne me répond et j’entends des personnes rigoler plus loin, elles parlent de leur pause déjeuner. La sage femme arrive enfin. Elle me dit que BB va bien, qu’il est avec son père, elle me fait signer les papiers et me propose de m’apporter des photos du bébé qui est alors en couveuse. Elle m’apporte l’appareil et s’en va. Je regarde les photos mais je pleure, j’ai besoin de le voir… Une infirmière me dit que je dois rester en salle de réveil encore un moment. Le temps me parait être l’éternité, c’est horrible. Enfin, on me dit que l’on m’amène dans ma chambre pour voir mon fils. Je me sens revivre. Le brancardier me dit d’arrêter de pleurer, que j’allais voir mon bébé, et il part de la chambre. Et là, j’attends… Je comprends qu’on m’a oublié. Je sonne, j’hurle, j’essaye de me lever parce que personne ne vient. C’est horrible le temps qui passe quand on n’a plus de repères. Enfin une auxiliaire passe et me dit « ah mais on ne savait pas que vous étiez là, on nous a pas averti ». Elle me dit qu’elle va appeler la pouponnière pour qu’on m’amène le bébé. J’attends toujours. Une autre auxiliaire passe et me dit qu’elle doit donner du sucre au bébé et qu’elle me l’amènera après. J’attends toujours. Mon mari arrive. Il me dit que BB va bien mais encore une fois, il n’a pas mon bébé. Je ne crois plus personne. Je veux mon bébé, c’est tout ce que je demande… La sage femme arrive enfin et on me le pose sur le ventre. Je suis heureuse et triste à la fois. Je me calme, mon mari prend des photos du moment. Nous sommes seuls dans la chambre. Je voulais faire du peau à peau avec mon bébé, mais bien sûr il est habillé. Je l’embrasse et lui demande pardon de l’avoir laissé seul les premières heures de sa vie. (Livio est un peu sale, mon mari m’explique que BB a fait caca dans mon ventre. Je me dis qu’il aurait pu mourir empoisonné). En fin d’après midi, une sage femme passe pour contrôler. J’ai de la fièvre et je lui dis que j’ai mal au ventre. Elle regarde les perfusions et me dit « ah mince, on a oublié de vous mettre un calmant ! ». Elle s’excuse de tout ce qui m’est arrivé et me dit que je m’en remettrai avec le temps. Cela m’a fait du bien, elle m’a rassurée et réconfortée. Les jours passent et je ne me sens pas aidée pour l’allaitement. J’apprends en plus que les auxiliaires ont donné des biberons au bébé dans la nuit alors que j’avais demandé à ce qu’elles me l’amènent s’il veut manger. Pour moi, les premières heures de la vie sont décisives pour mettre en place l’allaitement. BB ne me tète pas et forcément il tète le biberon puisqu’il en a eu dès le début. Je me bats pour y arriver. Chaque jour je demande du soutien pour le mettre au sein, mais j’ai le droit à des versions différentes et pas vraiment d’aide. Quelques jours plus tard, je fais des montées de fièvre. On me dit que j’ai une infection mais on ne sait pas où. Je demande à une auxiliaire de regarder le lait que j’avais tiré pour me dire si c’était du colostrum ou du lait car il était encore très clair. A ce moment là, la sage femme qui avait été infecte avec moi le mercredi soir, interrompt l’auxiliaire pour me dire que les femmes ne sont pas des vaches laitière et donc que le lait n’est pas blanc. Une nuit, Claire est chargée de me faire les prélèvements. Dans la soirée, elle a demandé à mon mari de partir alors que j’avais vraiment besoin de lui. Vers 22h, elle passe prendre ma température et là elle lui dit : « si dans une demie heure vous êtes toujours là, j’appelle le vigile ! » et elle ajoute en fermant la porte « comprenez-nous ! ». Mon mari était en train de donner le biberon au bébé et je profitais de ce moment pour aller prendre ma douche. Sachant qu’il finit le travail à 20h, il ne pouvait nous voir qu’en dehors des heures de visite. Il a été là tout le long, il a dormi pendant des nuits et des nuits sur une chaise et a travaillé le lendemain et elle nous demande de la comprendre ? C’est le monde à l’envers ! Comme j’ai de la fièvre elle me dit que le lendemain je risque de ne pas pouvoir sortir. Je lui demande confirmation « donc il faut que je parte du principe que demain je ne sors pas ? » et elle me répond « partez du principe que vous saurez demain matin ». Dans la nuit, je me sens mal, j’ai 39 de fièvre. Elle me pique le bras un peu plus haut car j’avais déjà été piquée plusieurs fois déjà, et je lui demande si ça allait me faire plus mal. Elle me répond « Mais qu’est ce que j’en sais comment les autres vous ont piqué avant ! Vous posez de ces questions à cette heure ci ! ». Elle me demande si j’ai pris du doliprane, je dis oui et lui demande si elle était en train de me mettre du dafalgan dans la perfusion. Elle me répond sèchement « mais réfléchissez vous venez de me dire que vous avez pris du doliprane ! Vous avez l’air très méfiante ! ». Elle m’explique que d’autres femmes ont eu des accouchements bien plus difficiles sans savoir vraiment ce que j’avais vécu et surtout comment je l’ai vécu. Elle me demande si je pense que la relation avec l’enfant allait en pâtir et me dit, « vous savez ce que veut dire le mot « pâtir » ? ». J’ai l’impression qu’elle me prend pour une débile et je lui réponds que je n’ai pas eu mon bac+5 dans une pochette surprise et que j’en ai rien à faire des autres accouchements, je voulais juste avoir mon bébé. Elle a des propos culpabilisants en comparant sans cesse mon accouchement. Elle me dit par exemple que j’aurai du me renseigner avant l’accouchement. Et pour finir, elle me demande : « Mme, j’aimerai vous poser une question indiscrète, mais vous êtes une fille fragile ? ». Elle finit par me conseiller de voir un psychiatre. Le quatrième matin après l’accouchement, j’appelle la pouponnière pour demander s’il est possible de venir faire le bain du bébé vers 12h afin de permettre à mon mari d’assister à ce moment si merveilleux. Et alors que mon fils est au sein, une dame entre dans ma chambre, me prend BB, le met dans son couffin, me demande où sont ses vêtements et les prend dans un sac, et elle part en furie. N’ayant pas compris ce qu’il se passait et n’ayant pas terminé la communication téléphonique, je jette le téléphone et je pars en courant pour la suivre. Bien sûr, en me levant brusquement, j’ai un peu tiré sur ma cicatrice qui a un peu saigné. Aujourd’hui une boule s’est formée à ce niveau là et je dois passer des examens de contrôle. J’arrive à la pouponnière, elle est déjà en train de s’en occuper et les mots ne sortent pas pour lui dire me laisser tout faire. Elle me presse pour que je fasse vite car l’heure du bain est passé et je suis l’avant dernière maman. Elle l’embrasse et le désigne par le pronom « elle » alors que je lui ai déjà dit plusieurs fois que c’était un garçon. BB a régurgité dans le couffin (parce qu’elle l’a secoué). Elle me demande si j’ai des draps de rechange et je lui réponds qu’elle ne m’a pas laissé le temps de les prendre. Elle part voir une autre auxiliaire et lui dit que je n’ai pas de draps. L’auxiliaire répond que les parents doivent apporter leurs affaires, que c’est noté sur la liste. Je me sens mal parce que j’ai mes affaires, j’ai l’impression de passer pour la mauvaise mère. Elle me met des vieux draps tachés dans le couffin. Je reprends BB et pars dans ma chambre. Je les change et rapporte les affaires empruntées à la pouponnière en disant comme quoi l’auxiliaire ne m’avait pas laissé le temps de prendre mes affaires. L’auxiliaire m’explique que la dame qui s’est occupée de BB est nouvelle et qu’elle est un peu zélée. Les larmes me montent aux yeux et elle me dit « mais c’est rien, Mme, vous nous faites un baby blues ». Là je me dis que c’est pas possible, je suis dans un monde parallèle. Le jour du départ, je me rends compte que le personnel médical ne note pas grand-chose sur mon dossier. En effet, j’ai eu de la fièvre dans la nuit mais comme ce n’est pas noté, le docteur me laisse sortir avec une ordonnance pour faire faire les piqures d’antibiotiques par une infirmière. Je n’ai rien dit car je voulais absolument sortir. Voilà, la semaine de calvaire que j’ai vécue. BB va bien heureusement. Mais pour moi, j’ai vécu l’enfer. Je me réveille la nuit parce que je rêve du moment où l’on m’ouvre le ventre et me prend mon enfant. La douleur physique, c’est sûr, je l’oublierai. Mais la douleur morale reste là gravée à jamais. Et tout ça pour des erreurs de fonctionnement dans le service ou parce que des professionnels ont mal fait leur travail…
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